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    Je vous invite à découvrir mon univers quotidien par un petit détour aux Archives Départementales. Cette ambiance quasi monastique n'aura plus de secret pour vous…

    Toutes ressemblances avec des situations déjà rencontrées ne seraient que purement fortuites !...



    Je pénètre dans une cour de ce qui fut autrefois un couvent, un cloître ou une vieille demeure. Je suis toujours prise d'un malaise en entrant dans ces lieux chargés d'histoire. En poussant la porte d'entrée je crains à tout moment de tomber nez à nez avec la supérieure du couvent, me demandant la raison de mon intrusion en ces Lieux Saints.

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    Comme la plupart du temps, la salle de lecture est très fréquentée; on y trouve le retraité, le visage encore écarlate par l'effort fourni pour arriver jusque-là, un étudiant qui fait semblant de ne pas remarquer mon arrivée. Mais je sens bien qu'il me détaille de la tête aux pieds par derrière son vieux manuscrit. Nos regards se croisent; il rougit de ses pensées non avouées, et replonge sa frimousse dans ses études. Il y a aussi dans le fond de la salle, un endimanché en costume-cravate, style premier de la classe, les cheveux coupés depuis moins d'une heure, maniaque au possible, capable d'enfiler des gants à usage unique pour tourner les pages du registre qu'il consulte, de peur que ses doigts sentent le vieux papier.
    Les anciennes qui n'ont de cesse de faire le bilan de leurs états de santé; les plus jeunes, qui, accompagnant le grand-père s'ennuient à mourir et tentent désespérément de trouver un quelconque intérêt à la lecture de ces «vieux bouquins» et se font fustiger du regard s'ils ne respectent pas le silence. Et enfin, le magasinier surnommé Rambo, fidèle au poste, juché sur son mirador, guettant le lecteur indélicat et prêt à lui tomber dessus s'il utilise autre chose qu'un crayon de papier ou si sa façon de tourner les pages lui paraît brutale. Il me regarde arriver, me cataloguant déjà de destructrice, et suit mon déplacement jusqu'au bureau administratif.

    «Bonjour Madame, j'arrive de «Trifouilly-les-Chaussettes» et je recherche mes ancêtres, surtout Louis Lépine né en 1846 en cette même paroisse» Elle me laisse déballer ma généalogie, et toutes les embûches qu'elle m'a créée pour atterrir ici. Elle me regarde d'un oeil, l'autre suit l'article de journal posé sur son bureau à la rubrique des chiens écrasés. Soudain deux yeux me fixent, sa tête se dresse, et de son imposante corpulence me lance : «Ouais ! Vous êtes inscrite comme lecteur ?» «Bien sûr, j'ai ma carte France-Loisirs» Elle devient rouge, ses yeux globuleux noircissent, elle va nous faire une rupture d'anévrisme. «Vous êtes déjà venue ?» «Oui madame, mais il y a longtemps !» «Vous n'êtes pas venue ici depuis le début de l'année ?» «Oui, bien sûr ! avec ma sœur, ma mère et ses chats, nous avons passé quelques jours dans la région pour prendre les eaux.» Ses yeux noircissent de plus en plus. «Je veux dire ici, aux Archives « « Eh bien non, figurez-vous que si j'avais vu plus tôt, que mes ancêtres étaient de la région, je serais venu vous voir plus rapidement et goûter au plaisir de votre accueil» J'attends la sentence : la mise au placard, c'est sûr ! Mais, Ôh Miracle, j'attrape à la volée ma carte de lecteur tant attendue; au travail maintenant, il n'y a plus de temps à perdre !


    Quelques registres paroissiaux plus tard, je me rend à nouveau auprès de cette charmante dame pour lui demander, par hasard, si elle ne connaîtrait pas une personne travaillant sur un patronyme commun au mien. En guise de réponse, elle se contente de secouer la tête comme le spectateur qui suit la finale de Rolland-Garros, cela sans un mot ni le moindre regard. Penaude, je regagne ma place et complète le carton qui me permettra d'obtenir les documents souhaités. J'inscris sur la carton mon numéro de lecteur (surtout ne jamais l'oublier, sinon c'est le bagne, la bannissement !), la côte demandée 3 E 3669 R1 Série B correspondant aux minutes de notaires et le dépose dans la boîte.


    Je dispose de vingt minutes avant de pouvoir prendre connaissance du contenu de ce document, et j'en profite pour musarder dans la salle à la recherche d'un quelconque livre. Ils devraient mettre en rayon la Redoute ou le dernier Astérix, ce serait mieux que de se farcir les recensements de la période 1597-1636 ! Enfin mon délire terminé, je décide de consulter la Revue Française de Généalogie, lorsque mon portable se met à sonner. Mince je l'avais oublié celui-là. Ma rapidité pour le prendre en main, et couper la sonnerie qui trouble le silence religieux du lieu, ne m'empêche pas d'être fusillée du regard. Je sors précipitamment dans le couloir pour répondre à l'hurluberlu qui cherche à me parler.


    Je réintègre ma place, le plus discrètement possible prenant au passage les documents demandés.
    Je suis dépitée, j'ai en face de moi le catalogue des armes et chasse côte 3 E 3996 R1 Série B. Qui s'est trompé ?… Il y a Rambo qui rigole, ça le fait glousser de plaisir et moi j'aurais perdu 40 minutes précieuses en attendant la prochaine levée. «Au secours, j'ai besoin d'aide !» J'interpelle le conservateur ou Sa Seigneurie ; Il a un visage de bébé avec collée dessus, une barbe toujours taillée à une virgule près, son éternel complet gris amidonné à souhait et sa cravate achetée aux Galeries Farfouillettes, placée en point d'exclamation sous sa glotte.


    Sa Seigneurie est un pro de la série B. Il est capable de vous trouver le procès d'un porcelet en 1600 et des brouettes, et de vous en raconter les détails jusqu'à vous en tirer des larmes d'attendrissement pour le malheureux goret incriminé.


    Mais quel cheminement d'idées peut inciter une personne, à priori sensée, à se lancer dans une telle aventure, sachant que sa vie entière ne suffira pas à accomplir la tâche titanesque qu'elle s'est fixée ? Les Archives Départementales ressemblent parfois au bagne; Sing-Sing, Alcatraz et Cayenne à la fois, qu'on se le dise ! Alors prenez gare à ne pas être victime de cette terrible maladie que l'on nomme la généapholdingo. Diantre ! Si vous me lisez, c'est que vous être contaminé(e) ! Pauvre de vous...

     


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    Chiche !



    Toute jeune, j’aimais déjà les arbres, parce qu’ils chantaient avec les oiseaux, miaulaient avec les chats, et que le grand soleil n’a d’agrément que par l’ombre fraîche qu’ils nous procurent. Mais, aimer les arbres, c’est comme aimer le vent, c’est plutôt impersonnel.
    Alors, très tôt, j’ai cherché mon arbre à moi, errant d’arbre de Noël en arbre de Vie, d' arbre de Mai en arbre à came.

    Il faut de la décision en tout.

    J’ai fini par le trouver, évident, massif, simplement par hasard en levant la tête pour constater que j’étais depuis toujours au pied de mon arbre....généalogique. Toute approche, fût-elle arboricole ne saurait se dispenser de réflexion. Ainsi, vu d’en bas il avait déjà assez belle allure, et méritait donc un examen attentif, précis, clinique, mathématique, même pour commencer.

    Il faut de la rigueur en tout.

    Ainsi, supposant qu’une génération se reproduit en moyenne tous les vingt cinq ans, j’ai tenté de compter mes ancêtres. Donc, chacun de nous ayant eu deux parents (au moins), qui en avaient deux (au moins), chacun aussi et ainsi de suite, je me suis retrouvée dotée de deux puissance dix aïeux en l’an mille sept cent cinquante, c’est à dire déjà mille et vingt quatre sujets de Louis XV. Poussant plus loin la magie plaisante des puissances de deux, je me suis découvert une parentèle contemporaine de Christophe Colomb se montant à plus d’un million, et de quatre milliards sous la houlette de Charlemagne probablement plus nombreux que la population de toute la terre à cette époque.
    Bref, les frondaisons de mon arbre se perdaient dans un ciel brumeux d’où l’on avait du mal à apercevoir Adam et Eve, tout là-haut. D’autant plus que même l’examen de la situation de ce point de vue n’était pas sans risques, l’identification des épouses d’Abel et Caïn étant loin d’être évidente.
    Il ne me restait plus qu’à grimper à la recherche de mon Histoire.

    Il faut du courage en tout.

    Par un frais matin d’été, avec cordes et griffes de bûcheron, musette et casse-croûte, j’attaquai mon arbre par la face nord, en colimaçon, et dans le sens des aiguilles d’une montre s’il vous plaît.

    Il faut de la méthode en tout.

    Comme souvent, le début est facile. On identifie sans peine père et mère, avec dates de naissance et plusieurs prénoms, puis les grands parents, avec prénom, date de décès et naissance approximative déduite de l’âge après calcul « savant » . Et puis on se retrouve au dix-neuvième siècle, à pied d’œuvre, ou plutôt au pied de ses bisaïeux, là où tout se complique.
    Au fait, qui de vous connaît les noms et prénoms de ses huit bisaïeux préférés ? Essayez un peu de vous rappeler.

    Place pour un temps de réflexion...


    Moi, j’ai découvert à ma grande honte que je n’en connaissais aucun, et j’ai commencé à consulter de ci de là, pour découvrir entre souvenirs et nostalgies de maigres rameaux dessinés à la hâte sur des coins de nappes, des photos passées et des enveloppes jaunies.
    Pourrais-je un jour, suivant la tradition orale mille fois déformée, remonter jusqu’au mythique Oncle Abel, bandit de grand chemin, ou jusqu’au peut-être illustre bâtard, enfant trouvé sous une porte cochère enveloppé de beau linge dont les coins armoriés avaient été soigneusement découpés, cette belle paysanne à qui il ne restait plus qu’un œil, ayant perdu l’autre en ramassant des fagots mais qui était si belle qu’elle fut peinte par Renoir, ou encore retrouver le coffre ciselé que la rumeur familiale laisse pourrir au fond d’une mare depuis la Révolution, regorgeant des preuves éclatantes de ma noble extraction ?

    Il faut de l’espoir en tout.

    Somme toute, les premières branches étaient régulières, assez saines, avec des registres poussiéreux aux marges grignotées, des cadastres jaunis, des tombes gravées aux lettres érodées par le temps mais encore lisibles.
    Peu à peu, tout commença à se gâter. Je me retrouvai dans un fouillis inextricable, perdue. Quelle année ? Quelle branche ? Quel rameau ?
    C’est alors qu’une toux grave et compassée se fit entendre :
          -Tiens ! Bonjour petite ! Comment vas-tu ? Quel drôle de costume tu as ? D’où viens-tu donc ?
    L’inconnu avait assez belle allure, avec jaquette et barbe blanche. On pouvait lui donner cinquante ans. Je lui répondis « Bonjour mon lointain aïeul », par principe, puisque j’étais dans mon arbre.

    Je me présentai et lui exposai brièvement les raisons de ma visite. Pas autrement surpris, il fronça le sourcil droit, (celui sans monocle), grommela son enchantement premier de me rencontrer et commença à évaluer la situation en ces termes :
           -Voyez-vous, jeune fille (sic), c’est un grand plaisir pour moi d’apprendre que j’ai fini par avoir une descendance, mais je ne m’attendais pas à celle-là, car à vous examiner de près, vous me semblez assez dégénérée. Votre apparence chétive serait-elle la conséquence d’une mésalliance future ?
    Mais d’abord, êtes-vous bien sûre d’être dans votre arbre plutôt que dans le mien ?
    Comment reconnaître mon sang dans cette demi-portion sans envergure dont vous avez la monstrueuse ignominie de m’imputer l’arrière-arrière-arrière (et j’en passe) grand-paternité !
    Hors de ma vue, chétive et scrofuleuse créature, avant que ma patience ne tourne à la violence devant tant d’impertinence.

           Loin de mes regards, éloigne ta figure
           Plus jamais à mes yeux n’infliges ainsi l’offense
           Des vertiges ravagés de ce honteux futur
           Dont ton esprit tordu exhale la démence !


    J’eus tôt fait de changer de branche et les moulinets rageurs de sa canne ne trouvèrent que le vide.

    Il faut de la décision en tout.

    Dans ma précipitation, je faillis renverser trois fourches plus haut, un ancêtre chevelu, échevelé même, car il en perdit sa perruque. Il se mit à glapir avec un singulier accent campagnard, après cette maraude si mal accoutrée, dont les manières rustaudes ne pouvaient s’admettre dans un arbre aussi noble, poli et bien tenu que le sien.
          « Halte-là maraude ! Ô combien maladrroite,
           Arrrêtez à l’instant de me brrriser les noix... »
    « Bonjour, Grand-père, toutes mes excuses pour cette brrrutale intrusion mais il y avait urgence, et permettez que je me présente. »
    Ce que je fis avec l’hypocrite humilité de la curieuse, prise sur le fait, débitant d’un trait des explications cousues d’un fil de couleur incertaine à ses yeux.

    Il faut de la nuance en tout.

    « Eh dis-moi Grand-père, de combien de mes grand-mères as-tu été amoureux ? »
    Il en resta coi.
    Ce fut assez pour clore lestement la conversation et filer un peu plus haut.

    Il faut de l’insolence en tout.

    Un peu plus haut, il n’y avait pas grand-chose. Je grimpai donc encore de quelques peus ( un peu, des peus ? ), et profitai d’une fourche confortable pour souffler deux ou trois peus.
    Dans le silence bruissant de la ramure, couvrant progressivement le chant des oiseaux, un gros moine me tomba dessus à bras raccourcis.

    « Grand-père ?» Hasardai-je éberluée.
          Comment dis-tu, femme ? Mais point ne saurais-je être ton aïeul. Assurément la bure dont je suis vêtu atteste de mon indéfectible chasteté. »
    Pour le coup, l’accent du compère sentait le vieux françois, et il me fallut tendre l’oreille pour y comprendre goutte.

    -Oui, Grand-père, mais c’est mon arbre !
    -Ah, ah !ah !, Par le nom du Seigneur, je te jure que nenni !
    -Ne jurez point en vain, Grand-père puisque c’est mon arbre, et dites-moi plutôt qui fut donc ma Mère-grand !
          F'ort bien, force est lors de ne point mentir plus avant. Oyez brave petite, la confession véridique d’Alcofribas Nasier ! En effect, femme avoir est l’avoir à usage telle que Nature la créa, qui est pour l’aide, ébattement et société de l’homme. Je conviens avoir eu en toute courtoisie et joviale honnêteté, d’une femelle bien à point et plaisamment gimbretiletolletée un rejeton dont la descendance fût à ce que je déduis, des plus nombreuses et prolifiques. Merdigues, adoncques celle-ci était mienne destinée d’être aïeule, et fort heureusement ainsi, par juste et équitable cause, je rends grâces à Dieu !

    Sur quoi, il partit d’un rire monumental, m’attrapa par la peau du cou et me projeta en l’air au travers des branches en beuglant :

          « Adieu, petite-fille de je ne sais qui, et peut-être de moy, vas t’en au diable ! »

    Le visage tout écorché, j’atterris dans le giron d’une imposante matrone, dont les rondeurs naturelles me sauvèrent de blessures plus graves.

    Il faut de la douceur en tout.

          - Bonjour Grand-Mère
          - ?
          - Bonjour Mère-grand
          - ? ?
          - Bonjour Grand-maman
          - ? ? ?
          - Eh la vieille, t’es sourde ou quoi ?

    Elle n’était pas sourde. Une vague lueur d’incompréhension éclaira son regard et elle me répondit :

          - Autobus metro boulo dodo et tunc quos Hymenae,
          - Pardon ?
          - Cacata carta tibi noctes, laetas ut dies tibi serenos rigolationes.
          - ? ? ?
          - jais attehtion je en sechant fge ne be monlle corqdes


    Stop !


    Alors tout devint clair pour moi ; j’ai amarré solidement ma corde à la branche la plus proche, et je suis descendue en rappel, vite. J’ai croisé au passage, très vite, trop vite :

    Du Guesclin (1320-1380, Connétable, bonjour Grand-père !),

           Omer Talon (1595-1652, magistrat, bonjour Père-grand !),

                 Ninon de Lenclos (1620-1705, bonjour Grand-mère !),

                       Marie Leprince (1711-1780, conteuse, hello Granny !),

                             Louis Lépine (1846-1933, préfet, salut Pépé !),

                                   Jean Passe (1919...., b’jour Papy !), et des meilleures.

    Ainsi, la forêt se réduisait à un seul arbre, et cet arbre gigantesque, que j’avais naïvement d’abord cru n’être que mon arbre à moi, était un vrai boulevard ; c’était évidemment l’arbre de tout le monde, encombré de nos aïeux intimement mélangés, entrelacés dans le feuillage de la gigantesque luxure du passé.

    Mon histoire est donc également votre drôle d’histoire à tous, chers cousins, et nous rapproche bien plus que le vulgaire ne pourrait le penser. Laids ou sympathiques, sales ou exquis, repoussants ou joyeux, vaniteux ou benêts, lubriques ou somptueux, orgueilleux ou rien, vous habitez notre arbre commun, celui de l’Histoire.
    Je dois vous quitter pour mettre « mon » arbre généalogique à jour. Oui, mais lequel ? Est-ce bien mon arbre ce matin ? Soudain, il me paraît un peu trop vert, un peu trop touffu, d’une espèce différente. Mais oui, bien sûr, il y a plusieurs arbres, plusieurs espèces ; et quelque part là-haut, oubliant dans ma précipitation qu’il fallait bien descendre de quelqu’un, j’étais bêtement descendue de l’arbre !
    Alors j’en prend mon parti. Mais chemin faisant, je repense chaque jour à mon arbre.

    Ainsi, en supposant qu’une génération se reproduit en moyenne tous les vingt-cinq ans, j’ai tenté de
    compter mes ancêtres. Donc, chacun de nous ayant eu deux parents (au moins), qui en avaient
    deux (au moins), chacun et ainsi de suite. Je me suis retrouvée dotée de deux puissance dix aïeux
           en l’an mille huit cent cinquante, c’est à dire déjà mille et vingt quatre sujets de GibbonVII.
                   Poussant plus loin la magie plaisante des puissances de deux, je me suis
                         découvert une parentèle contemporaine de Laurent Outang se
                                montant à plus d’un million, et de quatre milliards
                                        sous la houlette de Cynocéphale 1er,
                                              probablement plus nombreux
                                                     que la population de la
                                                            terre à cette
                                                                époque.

     

     


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    • Délires
      Les délires d'une généalogiste en herbe... Il faut de l'humour en tout !

       
    • Archives Départementales
      L'univers quotidien au sein des Archives Départementales. Toutes ressemblances avec des situations déjà rencontrées ne seraient que purement fortuites !...

       
    • Ainsi-soient-ils
      Hommage à tous mes aïeux qui, nés sans "nom" ni fortune, sont oubliés des livres d'histoire.

     

     

     

     

     


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  • Généalogie de la famille BARALLE/LEROY

     

     

    Si vous souhaitez une généalogie plus complète, rendez-vous sur le site de Geneanet


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    Généalogie de la famille VIET

     

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